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dimanche 15 février 2009

Ferry

Puerto Pricessa – Coron
Et pour ce faire Gaëlle nous a réservé un Ferry. Un SUPER FERRY, c’est le nom de la compagnie.Debout à 6h car il faut officiellement être présent 4h avant le départ mais on se dit que 2h avant ça devrait le faire. On arrive sur place, pendant que Gaëlle déjeune avec les petites et sa mère je me renseigne sur la validité de nos E-ticket. Après avoir payé ma taxe, demandé à la madame, demandé au garde, m’être perdu au douane et au bureau de quarantaine avec Timi que je pose la question à un gars avec un T-shirt Super ferry. Le gars me dit qu’il faut aller au bureau en ville faire valider les e-tickets. Donc je saute sur une cylo motoriser je retourne au bureau en ville et suis de retour avant que Mamy ai fini son café.Le bateau est grand et semble avoir une flèche naturelle au milieu. Les bagages sont reniflé par un chien ce qui plait bcp à Timi. Ensuite on monte la passerelle, Timi se faisant passer d’un steward à l’autre. Enfin on nous indique notre lit, et oui on a un lit pour nos 13h de navigation. Le premier commentaire de Gaëlle est : Ho putain je peux pas resté ici je suis claustrophobe, je reste pas une minute. Ben oui c’est grand un ferry comme ça, alors il y a grosso modo 100 lits à étage rangées dans une pièce sentant l’huile brûlée sans fenêtre de 1m80 de plafond. Bon on pause les valises et moi je vais déjeuné un petit porc frit avec un riz à l’ail. Sous la pression de Mamy, Gaëlle nous change nos places pour une tourist class.
Pas facile d’écrire alors que sur le lit d’accoter Kiara court avec notre brosse à dent pour coiffer les cheveux de Timi qui regarde Nemo ave sa maman.
On souffle un peu on s’installe dans nos lit sans odeur et avec fenêtre.On fait le tour du bateau, une fois, deux fois, trois fois… Je ne m’en lasse pas, d’abord y a la classe moins cher, même lit à étage mais parqués sur le pont supérieur ouvert à l’océan et puis là où on était, qui est maintenant plein de monde. Je reprends mon Xeme tour, et je prends des photos. Les philippins transportent leurs coqs de combat, quand c’est l’heure de les choyer, Kiara m’accompagne et me les montres du doigt.Les coqs sont impressionnants, sortis de leur boite en carton, ils sont tâtés, nourris, comparés sous les cocowheeeeeee comme dirait Timi.Tout allait bien jusqu’à ce que Gaëlle remonte de la cabine me disant qu’elle ne va pas bien du tout. Et là ce fut le début de la fin. Je l’emmène sur le pont avant du bateau, qu’on accède par une petite porte dérobée à tribord. La mer n’est pas fortement agitée, mais cela fait quelque jour qu’il y a du vent et une bonne houle s’est installée. Le vent est très fort à la pointe du navire et l’embrun vient nous fouté les museaux. Kiara coiffée comme un punk les cheveux tendus en arrière, tient doudou d’une main, je sécurise la prise car sur ce pont glissant et vide, si elle le lâche il est perdu. Et quoi de plus dur qu’un doudou manquant à l’appel. J’espère ainsi revigorer Gaëlle et lui redonner un peu d’air. La mer de chine sur laquelle on navigue prend des couleurs sombres dans le soleil couchant. Jelaisse Gaëlle et Kiara à l’arrière du bateau et descends voir comment s’en sort Maïté avec Timi qui regarde Mimi. Rien ne va plus Mamy a sauvé l’ordi de justesse et Timi nage dans son vomi. La houle est de plus en plus forte, on nettoie ce qu’on peut. On monte sur le pont et on regarde l’horizon avec les petites. L’angoisse monte car la houle est de plus en plus forte et la nuit tombe, et ici quand il fait nuit, il fait noir de chez noir, donc plus d’horizon. Et voilà on y est Gaëlle vomi, suivit de Kiara qui me gerbe dans les chaussettes, puis sur la chemise, torse nu je porte Timéa qui m’en remet une couche. Gaëlle abattue survit accroché à la balustrade Kiara couchée sur elle. Maïté court entre les sacs plastiques et le papier cul.A chaque fois que Timi à vomi elle me dit : Timi va mieux le malade il est sorti par la bouche. Cette petite à un optimisme à vous coupé le souffle. On finira le voyage couché dans nos lits, les uns sur les autres.

Tout le bateau sent le vomi, il y a des taches jaunes sur tous les ponts. Mais enfin la mer se calme, je vais acheté des sugus pour tout le monde, nous naviguons maintenant entre les milliers d’île ou la houle de rentre par et voilà à Coron. Le lendemain dans notre ressort au milieu de la forêt c’est un peu comme si on avait tous une gueule de bois. On ne fera pas grand chose, à part piscine, dormir, manger, joué avec les petites, demandé de régler le problème d’eau chaude. Lorsqu’on se rend à la piscine, Timi me regarde et me dit toute surprise : there are poeple in my piscine. Ben oui ma chérie on partage aurjoud’hui. Planté sur le bord de l’eau, les bras posés sur les hanches elle regarde ces effrontés qui osent nager dans sa piscine.Le soir on ira en ville rechercher des langes et manger un petit bout. Après avoir changer trois fois notre commande et deux fois de restaurant on fini sur un resto à pilotis mangeant des tiger prawns et un riz à l’ail.
Demain c’est island hopping.


Posted by Picasa

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