Lilypie Kids Birthday tickers

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Daisypath Vacation tickers

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jeudi 19 février 2009

Don't clack the door

tous les soirs on lit une histoires à Kiara qui aime bien le livre animé de mimi (mais il y a de moins en moins de trucs qui bouge parce qu'elle tire très fort sur le carton qui s'avère pas plus solide que ça). Timéa assise à côté feuillette déjà le livre qu'elle s'est choisie. Kiara sur les genoux de sa mère lance des doog dooooog quans on est a l'image du chien. Et puis elle ferme le livre termine son biberon si nécessaire, fait un bisous a papa, Timéa et dans les bras de maman prend la direction de la chambre de juliette. Là une assiette sur les genoux Juliette essuie sa bouche et l'embrasse. Quand elle repasse devant nous sur le chemin de sa chambre on lui fait de grands ciao ciao auxquelles elle répond avec un petit signe de la main et un grand sourir. Une fois couchée Gaëlle nous rejoin et se colle à nous pour la lecture du dernier livre de la soirée. Ceci fait on met un lange à Timi qui elle aussi court faire un bisous a Sucette pendant que je l'attend dans son lit.
Elle se couche la tete sur mes genoux les pieds sur ceux de sa mère et nous raconte sa journée.
A vu miss Mali, mathiew est parti mais revient demain - Non timi mathiew il changé d'école.
Alors elle nosu dit: Timéa cry comme ça (bruit de sanglot a vous briser le coeur) et alors mathiew he comme back et Timéa lui fait bisous.
sur quoi elle nous explique encore que untel ou un tel est un garçon parcequ'il a un zizi, et puis se lève, tourne le petit phantome veilleuse ikea afin que celui-ci la regarde faire dodo.
Elle dit à maman de partir, prend son biberon du bout des lèvres suivit dd'une gorgée d'eau et nous lance son incantion magique pour faire dodo.
Papa: tu ne peux pas sortir de ta chambre ok, sinon?
Timi: Timéa punie no stikers no monster (elle ne pourra pas coller de sticker dans son livre ou regarder monster and Co (qu'elle ne peut de toutes façons voir que le dimanche matin quand on est juste bon a se lever pour se recoucher dans le canapé parce qu'il est 6h du mat))
Papa: Ok bonne nuit
Timi: facher de chat - CHAT peut pass réveiller moi, peut pas réveiller Timéa
Papa: aller chat sort d'ici Timéa doit faire dodo ( je vous rassure on a pas de chat, mais dans le condo il y en a un qui miaulle et qui ne peut pas le faire quand Timéa doit aller dormir parce que lui aussi il doit aller dormir)
je me dirige vers la porte et:
Timéa: Don't clak the door, fait doucement bisous
et puis elle sombre dans le someil, mais demain pas de sticker car elle a rouvert la porte.

Aller Gaëlle est a un bbq drink de son client, moi j'ai célébrer les 7.000.000 the manhours without accident au boulot entre deux thermal mapping d'autoclave et une alarm tap water lack (les initiés savent de quoi je parle)
Il est 9h j'en peut plus je vais me coucher

Coron island

Gaëlle tour nous a organisé une journée en bateau visite de l’île de Coron.
On a réservé le lunch avec quelque boisson, loué une masque et des palmes, quelque serviette.
On enduit les petites de crème solaire et on bourre le sac de biberon, pelles, sceau, maillots et autres kit de survie pour journée plage.
Le mini bus nous charge à la réception après un petit déjeuné riz à l’ail, et nous décharge au port devant un petit tri-marant. Timi pas du tout échaudée de l’expérience monte avec enthousiaste sur SON bateau. Il est 9.30 et notre embarcation fait route vers le premier point d’intérêt, le lac intérieur.
Timi a pris l’habitude de se faire porter comme une princesse pour sortir des bateaux et ne rechigne jamais à monter dans les bras de ces galants jeunes hommes au teint mat.
Je la pause sur mes épaules et commence à gravi r l’escalier plutôt raide, suivant notre guide. Ca commence à faire haut, la petite sur les épaules, mon sac photo en bandouillère , et le sac à dos avec kit de survie qui me tire en arrière, à tel point que quand sa coince je force un peu, mais ce qui coinçait c’était Timi accrochée dans les branches. Oups la voilà avec deux belles balafre dans sa jolie frimousse, pas cool papa ;-p. Heureusement elle est cool et après avoir enlevé la douleur je lui fait souffler dans mon poing fermé, l’ouvrant aussitôt laissant s’envoler le mal. Ca l’amuse donc on le fait deux trois fois, ou alors le douleur à du mal à partir. Dans tout les cas arrivé en bas elle explique l’histoire à maman et je me sens un peu con.
Mais c’est beau, d’abord les montagnes qui se termine dans la mer bleu transparent, ensuite le lac au milieu de tout ça.
On se pousse sur la petite estacade en bambou et on enfile nos maillots. On passe les bouées au bras des petites, les palmes au pied de papa et on se jette à l’eau. Moi je fais des va et viens, pendant que Timi dragues encore. Elle s’émerveille à grands cris des garçons qui plongent dans l’eau et ressorte plus loin, et crie : I can not find youuuuuuuu. Et puis se met à nager en tournant sur elle-même. Kiara qu’on a décidé de passer au lait normal (pour des raisons de logistique) ne veut pas boire son biberon et est un peu fatigué. Elle grinche sur la rive dans les bras de Gaëlle, je vais donc prendre le relais pour que elle aussi puisse profiter de cette eau à la bonne température dans un cadre assez magique. Timi s’est elle maintenant habitué à nager avec les poissons et s’amuse à attraper les feuilles qui flottent. Après une bonne heure de nage, on reprend l’escalier et le bateau et on va faire escale sur une petite plage de sable blanc située dans une crique, un couple de japonais mange des oursins sous le regard intéressé de Timéa, pendant que Kiara mange un demi poulet. On restera là une bonne heure à faire des chateaux de sable, Timi courant entre l’ombre et l’eau pour se laver le pette et se rassoire dans le sable. Kiara finira par s’endormir sur mon ventre pendant que Gaëlle lit son livre.
On reprend notre bateau et on se dirige vers notre dernière escale. Là on a pas le droit de jetter l’encre et des bouées sont mise à disposition pour amarrer le bateau. Ceci afin de préservé le fond marin.
Mamy s’occupe de Kiara, je gonfle les bouées, je mets mes palmes et plouf à l’eau avec Timi. Gaëlle me suit, en pleine mer, dans les vagues Timéa n’a peur de rien, elle crie : c’est wigoloooo (elle ne prononce par les R, elle les dit à l’anglaise comme dans cawote)
Moi je nage vers les coraux, whouaa… c’est beau, plein de couleur de petits poissons fluos, de petites plantes qui bougent, d’oursins aillant échappés aux Japonais. Je tire Timéa jusque là. Elle nage accrochée à mon bras, regarde un poisson sous elle et puis je la ramène au bateau car elle a les lèvres bleues et me dit qu’elle a froid.
Je refais le chemin avec Gaëlle pour lui montrer les poissons bleus, rouges, etc.. C’est étonnant ce qu’il y a moyen de voir avec un simple masque et un tuba.
Le soir motivé par notre plongée on regardera Nemo à 4 dans notre chambre.
Après cette journée on restera deux jours au ressort, au bord de la piscine. A rien faire.
Rien faire c’est un grand mot, les petites nous occupe toute la journée. Kiara qui dort dans l grand lit à côté du notre se réveil généralement à 4h30 du mat, mais comme on est dans la même chambre et que c’est un lit double normal, dès qu’elle nous voit elle veut descendre du lit pour nous rejoindre, et de peur qu’elle tombe on la prend dans notre lit.
Mais bon malgré ça une nuit on entend boum, houaaaaaiinnnnnnn. Je retrouve kiara par terre, mais ayant prévu le coup on avait mis des coussins sur le sol, donc je pense qu’elle a pas eu trop mal :-)
Vers 6h30 c’est Timéa, qui passe ses nuits dans le cottage de mamy qui vient pousser la porte et réveil tout le monde à grand coup de Kiara wake up !!! Kiara elle sourit fait un calin à tout le monde et Timi ouvre le frigo pour préparer les biberons.
La elles jouent avec leur mère sur la terrasse, Timi peut être adorable avec Kiara la prenant par la main et lui expliquant se qu’il faut faire.

dimanche 15 février 2009

Ferry

Puerto Pricessa – Coron
Et pour ce faire Gaëlle nous a réservé un Ferry. Un SUPER FERRY, c’est le nom de la compagnie.Debout à 6h car il faut officiellement être présent 4h avant le départ mais on se dit que 2h avant ça devrait le faire. On arrive sur place, pendant que Gaëlle déjeune avec les petites et sa mère je me renseigne sur la validité de nos E-ticket. Après avoir payé ma taxe, demandé à la madame, demandé au garde, m’être perdu au douane et au bureau de quarantaine avec Timi que je pose la question à un gars avec un T-shirt Super ferry. Le gars me dit qu’il faut aller au bureau en ville faire valider les e-tickets. Donc je saute sur une cylo motoriser je retourne au bureau en ville et suis de retour avant que Mamy ai fini son café.Le bateau est grand et semble avoir une flèche naturelle au milieu. Les bagages sont reniflé par un chien ce qui plait bcp à Timi. Ensuite on monte la passerelle, Timi se faisant passer d’un steward à l’autre. Enfin on nous indique notre lit, et oui on a un lit pour nos 13h de navigation. Le premier commentaire de Gaëlle est : Ho putain je peux pas resté ici je suis claustrophobe, je reste pas une minute. Ben oui c’est grand un ferry comme ça, alors il y a grosso modo 100 lits à étage rangées dans une pièce sentant l’huile brûlée sans fenêtre de 1m80 de plafond. Bon on pause les valises et moi je vais déjeuné un petit porc frit avec un riz à l’ail. Sous la pression de Mamy, Gaëlle nous change nos places pour une tourist class.
Pas facile d’écrire alors que sur le lit d’accoter Kiara court avec notre brosse à dent pour coiffer les cheveux de Timi qui regarde Nemo ave sa maman.
On souffle un peu on s’installe dans nos lit sans odeur et avec fenêtre.On fait le tour du bateau, une fois, deux fois, trois fois… Je ne m’en lasse pas, d’abord y a la classe moins cher, même lit à étage mais parqués sur le pont supérieur ouvert à l’océan et puis là où on était, qui est maintenant plein de monde. Je reprends mon Xeme tour, et je prends des photos. Les philippins transportent leurs coqs de combat, quand c’est l’heure de les choyer, Kiara m’accompagne et me les montres du doigt.Les coqs sont impressionnants, sortis de leur boite en carton, ils sont tâtés, nourris, comparés sous les cocowheeeeeee comme dirait Timi.Tout allait bien jusqu’à ce que Gaëlle remonte de la cabine me disant qu’elle ne va pas bien du tout. Et là ce fut le début de la fin. Je l’emmène sur le pont avant du bateau, qu’on accède par une petite porte dérobée à tribord. La mer n’est pas fortement agitée, mais cela fait quelque jour qu’il y a du vent et une bonne houle s’est installée. Le vent est très fort à la pointe du navire et l’embrun vient nous fouté les museaux. Kiara coiffée comme un punk les cheveux tendus en arrière, tient doudou d’une main, je sécurise la prise car sur ce pont glissant et vide, si elle le lâche il est perdu. Et quoi de plus dur qu’un doudou manquant à l’appel. J’espère ainsi revigorer Gaëlle et lui redonner un peu d’air. La mer de chine sur laquelle on navigue prend des couleurs sombres dans le soleil couchant. Jelaisse Gaëlle et Kiara à l’arrière du bateau et descends voir comment s’en sort Maïté avec Timi qui regarde Mimi. Rien ne va plus Mamy a sauvé l’ordi de justesse et Timi nage dans son vomi. La houle est de plus en plus forte, on nettoie ce qu’on peut. On monte sur le pont et on regarde l’horizon avec les petites. L’angoisse monte car la houle est de plus en plus forte et la nuit tombe, et ici quand il fait nuit, il fait noir de chez noir, donc plus d’horizon. Et voilà on y est Gaëlle vomi, suivit de Kiara qui me gerbe dans les chaussettes, puis sur la chemise, torse nu je porte Timéa qui m’en remet une couche. Gaëlle abattue survit accroché à la balustrade Kiara couchée sur elle. Maïté court entre les sacs plastiques et le papier cul.A chaque fois que Timi à vomi elle me dit : Timi va mieux le malade il est sorti par la bouche. Cette petite à un optimisme à vous coupé le souffle. On finira le voyage couché dans nos lits, les uns sur les autres.

Tout le bateau sent le vomi, il y a des taches jaunes sur tous les ponts. Mais enfin la mer se calme, je vais acheté des sugus pour tout le monde, nous naviguons maintenant entre les milliers d’île ou la houle de rentre par et voilà à Coron. Le lendemain dans notre ressort au milieu de la forêt c’est un peu comme si on avait tous une gueule de bois. On ne fera pas grand chose, à part piscine, dormir, manger, joué avec les petites, demandé de régler le problème d’eau chaude. Lorsqu’on se rend à la piscine, Timi me regarde et me dit toute surprise : there are poeple in my piscine. Ben oui ma chérie on partage aurjoud’hui. Planté sur le bord de l’eau, les bras posés sur les hanches elle regarde ces effrontés qui osent nager dans sa piscine.Le soir on ira en ville rechercher des langes et manger un petit bout. Après avoir changer trois fois notre commande et deux fois de restaurant on fini sur un resto à pilotis mangeant des tiger prawns et un riz à l’ail.
Demain c’est island hopping.


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Puerto Pincessa

Puerto Pricessa.
On arrive vers 16h au Badjao Inn. Petite pension sympa.
De là on prend une moto tricycle et on se rend au marché. On y passe au rayon poisson, impressionnant de couleur et de forme, l’ambiance est sympatique et je sors mon flash.
Kiara portée par Gaëlle est suivit de Maité portant Timi. Je prend des clichés un peu timide au début mais avec un reflex monté d’un flash on passe pas innapercu. Ca tombe bien les philippins adorent se faire prendre en photos. Donc j’y vais, je shoot comme un fou, les gens prennent la pause, le poissonnier qui éclate une tête de poisson sert les dents et fait des grognement sauvage à en faire rire toute la rangée de marchant, la marchande de riz qui se tient bien droite et me sort son plus beau sourire, la vendeuse de fruit et légume la 20aine qui fait mine de rien mais remet sa mèche et me regarde du coin de l’œil, les amoureux qui se tire les cheveux, les pots qui se mettent des sacs plastiques sur la tête pour prendre la pause et enfin la foule d’enfant qui se pousse devant l’objectif, mais à force j’ai perdu ma petite famille. Je la retrouve dans un coin en train de boire un jus de mangue et j’en profite pour prendre deux trois photos des opérations de mixage et du vendeur de glace qui fourre des boules dans un pain de hamburger. On reprend un taxi moto à trois roues et on termine la soirée pieds nus dans un restaurant qui plait bien au petite car on y mange assis par terre sur des coussins. Le serveur un peu stresser retire les fleurs, les verres et autres affaires qui cassent à chaque fois qu’il vient déposer un plat.
Puis, avec Gaëlle, on se colle à deux dans un lit une personne Kiara occupant l’autre matelas mis par terre.
Demain on ira voir la rivière sous terraine… Une longue histoire.

24 dec 2008 (hors de la ligne du temps)

Bonjour papa, Merry chrismeusss.
Voilà comment commence mon repas du 24dec, mewy chrismeuuss tree.
Ensuite elle passe de mon coté de l’ordi et là
Hé this one do ABiCi…. Hooo papa you do this.
Kiara elle est partie chercher les balles avec maman et les donne amoureusement à sa sœur.
Pierre tu peux t’occuper un peu des enfants que je puisse choisir ce que je mange, bien sur vous l’avez deviné ça c’est Gaëlle qui se bat avec Kiara qui tourne les pages du menu tellement vite que Gaëlle n’arrive pas à lire le texte et ça énerve Gaëlle qui a faim et ça irrite Kiara qui a envie que ça tourne ici…

So many abici for you… Timéa a accouru de mon côté car j’appelais Kiara.
I want some more, Timéa qui vient de terminer son jus d’ananas. We have encore, quand Gaëlle lui remet du jus dans son verre. Mais là il n’y en a vraiment plus donc elle va avec la madame qui l’aidait à boire son jus en rechercher au bar.
Maman y encore nanas, because the same… quand elle arrive avec sa deuxieme canette de jus d’ananas… son verre remplis elle s’extasie : en montrant à la madame : Ho so big et montrant la canette vide : this one no more.
Là timi explique que Hihan il est wet because I fall done in the swimming pool et que antie elle wash hihan et qu’il est aussi wet.
I need to ask my maman to wash hihan and ask the sun to wash the wet away...
I want some more au bout du 3eme verre de jus.

Et Kiara me direz-vous, elle sirote son jus à la paille en faisant de petit ita weee.
Et là elle est enfin venu chez moi et me crie de grand tyaaaaatyaaaaaaaaaaa.
Et timéa l’imite. Expliquant à la madame, she is talking to youuuu enchainant par have a hand phone at home… my phone at home…
Et la madame s’appelle Louisa.
Me Timéa and Kiara it’s my sister Kiara.

Buterfly, my dady give me a butterfly to my chaussure… en montrant le pin’s que je lui ai mis quand on lui a acheté ses nouvelle croc bleu turquoise
Papa I want my lunette. Kiara give me my lunettes…
Is no more, I need to get one more, quand gaelle explique a kiara qu’il n’y plus de jus dans la canette, mais c’est pas grave Kiara continue parce que sa fait glouglouglou et que ça c’est rigolo aussi.
I’m going in the tunnel, I’m going buy something. Et elle court preparer un repas imaginaire.
Dans le coin où elle est, un geko fait grionggirong et elle revient les petites mains crispée près du visage en disant houuu I’m scary it’s going to bit you.

Gaelle : Elle sent le caca ma kiara
Tu fais des rimes mon amour…
Elle ne relève pas
Timéa m’a été enlevée et une fine pluie nous tombe dessus.
Ok j’éteins je vais profiter en famille et gaelle semble avoir trouver un logement pour le suite du voyage…

Club paradise

On arrive au club paradise tard dans la soirée.

On a pris un taxi le matin pour l’aéroport puis on a joué dans le hall de départ. Timi raconte de plus en plus d’histoire, Kiara l’écoute attentivement et commence à avoir ces propres jeux.
Pour l’instant ce qui l’amuse le plus c’est de visser et dévisser le bouchon des bouteilles en plastiques. Gaelle boit l’eau de la bouteille car sinon Kiara prend une douche entre chaque dévissage réussit.
On se forme une cabane sous mon sweet, et Timéa invite Kiara à s’asseoir avec nous. Tous les trois sous le pull on chante : Dans ma maison sous terre ho ma wé ho ma wé, ho wé ho wé ho ouistiti ! Que Timi reprend en criant OUISTITIIIIIIIIIiii.
Puis elle se met à errer dans hall le sweat sur la tête marchant comme un fantôme mort de rire.
Enfin l’avion est là, et elle me sort tous les arguments qu’elle a : Ha bien mangé ; dans la vion, et autre pas demain, pour regarder Mimi. Mais il faut encore patienter que la petite lumière verte du attacher vos ceinture s’éteigne et qu’on ai fini de décollé. Au bout du 15eme : OK mainant… je lui allume l’ordi et on met le DVD de Mimi.
On atterri tard mais le minibus est présent, comme il y a encore 2h30 de route, on fait un stop and go chez Jolibee pour faire le plein de sprite firte et hot dog.
Elles mangent toutes le deux et finissent par s’endormir. Après avoir été secouer sur une route en piteux état le mini bus franchis le portique en bambou du Club paradise. Deux charmante madame nous mette des colliers de fleur autour du coup, fort cliché comme accueil, mais il fait son effet sur timi, qui dans le cake total, est contente des jolies fleur.
Kiara elle a toujours le réveille joyeux, il est beau être minuit passé elle fait de grand yeux rond, un petite bouche, suivit d’un grand sourire qui dévoile ses 4 dents plantés dans ses gencives comme des chewing-gum Stimerol. On boit une noix de coco (moi je me prend une bière). Ensuite on se fait conduire à la villa, sur le site il disait que la villa avec vue sur la piscine, ben tu m’étonnes, en fait la villa à se propre piscine, dans lequel déborde un jacuzzi, le tout est creusés dans un gazon qui finit sa course dans les vagues de la mer. C’est hyper cliché comme situation mais ça nous plait.
Les filles ont déjà découvert comment allumer les bulles du jacuzzi, et se pousse du coude pour nous le démontrer.
6h30 du mat, Mamy wake fait jour. Come we go to see ma piscine.
On monte à l’étage où mamy vient de passer la nuit installée dans son lit double, Timéa dans le sien et Kiara par terre. Le soleil se lève à peine, il effleure de ses rayons la mer et apporte à la piscine un lumière rasante du plus bel effet.
Timéa nous explique que c’est sa piscine, son bain et sa grand-mère. On part déjeuné et dès le retour on plonge dans l’eau encore fraîche. J’ai gonflé de petit bateau acheter à singapour avec mamy et suivant les injonctions de Timéa : Ok Kiara’s turn ou My turn, on se passe l’une et puis l’autre dans le bateau ou dans les bras.
En gros on va passer deux jours jouant du bateau à la plage, on ira aussi faire du bateau dans la grand-mère où les grosse vakes sont verry scarry. Gaëlle se rapproche de nous portant Kiara dans les bras, un grosse vague fait disparaître les deux sous l’eau et ce fut tout pour la mer et Kiara qui ne voulait plus que maman aille plus loin que les genoux. Mais on rigole beaucoup.
Le cuistot est terriblement lent, il faut environ une heure entre la commande et l’arrivé des plats, alors au bout de deux fois on va commander et on se fait servir sur notre terrasse les pieds dans l’eau, du coup on ne voit pas passer l’heure d’attente durant laquelle Timéa aime me faire parcourir les 100m qui nous sépare du bar pour aller dire bonjour aux gentilles madames. Les prétextes sont divers, soit il faut une paille pour Kiara, soit il faut une boisson pour maman. Au cours du temps passé là bas on se goinfre de crevettes, scampi, crabe, poissons, calamars farcis etc…
On est aussi passé au petit déjeuné philippins, rien de tel qu’un riz à l’ail et un boeuf sauté pour commencé une journée pleine de nages.
Le séjour sera aussi marqué par une chute de Timi dans la piscine, elle faisait le tour du jacuzzi en contant les maillots qui séchaient. Gaëlle assise à la table la regarde faire et moi je suis couché sur le lit à profité du temps libre en usant mes doigts non pas sur l’ordi mais sur la PSP.
1, 2, 3, plouf elle disparaît sous l’eau je vois Gaëlle crier et se lever d’un bon, faire le tour de la table et s’asseoir au bord de l’eau descendre repêcher Timi. Le temps est long entre le plouf et les cris de Timi qui ressort de l’eau. Mais elle va bien, tandis que Gaëlle ressort de l’eau je console Timi qui me sort un rot ou deux et autant de larmes qu’elle peut. Sont gros stresse c’est que maintenant Hihan il est tout mouillé, elle le sert dans ses bras en hoquetant me faisant remarqué qu’il a les oreilles toutes mouillées.
C’est con, comme c’est vite arrivé, on a beau le savoir qu’une piscine c’est dangereux pour les petites, mais ça fout les boules. Et si et si…, on revit la scène mille fois ; ce qui aurait pu arrivé si on avait pas été au bord de l’eau, si on les avait perdu de vue 10min et pas 30sec, si si si … On en a des frissons dans le dos. Timéa nous en parleras encore pendant 3 jours, elle nous expliquera aussi qu’il a fallut faire sécher Hihan et que : the sun take the wet away.
Je ne pense pas qu’elle s’est rendue compte du réel danger, mais elle sait très bien qu’elle doit faire particulièrement attention.
Lors du réveille de la sieste Kiara redistribue les doudous égarés, comme elle le fait pour les chaussures, elle le fait pour les doudous. D’abord elle réclame Simoné du doigt en poussant de petit hun hun hun hun hun, puis elle ammène Hihan à Timéa qui est en générale plus long au réveil (elle nous a fait une sieste record de 14h à 18h30), et enfin elle m’apporte ma PSP… OUps peut-être que je joue un peu trop :-).

Le dernier jour on va voir les chutes.
Debout à 6h30 comme tout les jours, après avoir déjeuné sur notre terrasse, on se pousse dans le petit camion bleu. On passe faire le plein (à l’africaine, la première chose qu’on fait en générale c’est faire le plein avec l’argent reçus).
Au bout d’une grosse demi heure de secouade on arrive au parking. Kiara descend les marches une à une jusqu’au bord de l’eau, ponctué de Hi baby des gens qu’on croise.
La cascade est belle, elle coule souplement entre de gros caillou et quand on la remonte un peu on arrive là où elle se fracasse durement d’un chute d’une dizaine de mètres.
Timéa est occupé à manger les frittes froides déballées par notre guide, ce qui le rend sympathique aux yeux de ma fille (j’ai peur que si je rentre en Belgique elle épouse un fritkotier ou je sais pas comment on dit).
On se plonge les pieds dans l’eau, elle est fraîche mais pas glacée. Gaëlle perd une chaussure, mais je la ratrape, se faisant j’ai perdu la mienne de chaussure et là j’ai besoin que notre guide se mouille pour aller me la repécher plus bas dans le courant. Timéa nous sort de grand C’est Rigoloooooo.
Je vais donc plus haut dans le cours d’eau ou l’eau est plus profonde. D’abords avec Timi sur les épaules, je me mouille la tête, Timi est maintenant mouillée et nage avec moi. Puis elle monte sur un caillou et se jette dans l’eau. Je l’ai dit, l’eau est quand même fraîche et Timi a les lèvres bleues. Je force Gaëlle à abandonner Kiara à mamy, et j’emballe Timéa dans un essuie. Je lui ouvre un jus d’ananas, et je l’assied sur un caillou face à l’eau. Notre guide la surveille et lui apporte une tartine au thon qu’elle mange comme une princesse entre deux slurp de jus. Moi je nage à contre courant avec Gaëlle à mes cotés, ça me rappelle les chutes au Togo avec Aline et Henri. Une corde tendue de part et d’autre de la rive, nous procure une assise instable, ou je m’amuse à faire tombé Gaëlle. Et puis voilà il est temps de rentré car ce soir on dort à Puerto Princessa notre nouvelle destination.