Lilypie Kids Birthday tickers

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Daisypath Vacation tickers

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samedi 30 mai 2009

Week-end a Bintan - Indonesie









Surprise, pour mon anniversaire Pierre nous a reserve pour toute la famille un week-end a Bintan.
Cool, je sors du boulot a 12h, Pierre, Timi et Kiara m'attendent avec un taxi et on va au terminal ferry de Singapour.
1 heure de traversee en bateau
Plage, piscine, bain, spa, piscine, plage, balade
La belle vie en famille :-)

dimanche 24 mai 2009

Duck tour - tourisme a Singapour








On a joue les touristes a Singapour.
Balade en bus et en bateau sans changer de vehicule.

dimanche 17 mai 2009

Kiara a la plage - Un dimanche a Sentosa





Korée la fin

7eme jour 7 mai 2009
Départ classique, petit déjeuner dans la chambre, tangerine/orange de production locale. Un taxi nous dépose plus ou moins directement a l’arrêt du bus désire, et la on attend 5mintues et le bus arrive. Apres 1h de bus on est a Ichehon. C’est une presqu’île sur l’île. Genre de grande montagne avec un cratère au milieu. C’est le point le plus a l’est de l’île et il faut y voir le lever de soleil. Mais bon on a beau partir tôt, le soleil se lever a 5.30 du mat, alors faut pas pousser non plus.
Les panneaux d’information touristiques sont généralement en coréen et en anglais. Mais ils sont longs d’énumération des caractéristiques physiques, longueur, largeur volume, hauteur etc... Bref je ne m’attarde pas dessus. A peine arrive sur le parking 10 bus débarquent des étudiantes en socquette blanche, ha ben ça faisait longtemps. Timi et Kiara parfaitement roder pour le show, font leur star, les flash, les cris les je peux toucher vient par ici, tout y est. Et après 7 jours, les filles ont compris les règles du jeu, elles savent enchanter le publique.
Devant nous une grande étendue verte qui monte de plus en plus a pic pour se terminer par une falaise de lave noire qui se détache de la mer et du ciel bleu. Un gros vent de terre ondule la mer et décoiffe les filles.
Dans le gazon les petites socquettes blanches cours et prennent la pause, deux chevaux attendront que Timi redescende du pic pour se laisser chevaucher, un poulain regarde tout ça d’un air indifférent.
Nos mollets nous font encore souffrir de la veille, mais bon ce n’est pas 20 minutes d’escalier qui vont nous arrêter, on se lance et on arrive tout en haut. C’est beau tout ce noir, ce vert, et ces bleus. Pour la première fois Timi accepte de se laisser porter par les coquettes blanches, elle prendra la pause dans des bras différents pendant 5 bonnes minutes, mais je vais la secourir sinon bientôt elle ne voudra plus qu’on lui parle à la deuxième personne du singulier.
Choses promise choses dues, Timéa fait un tour sur le dos du grand cheval, car le petit il va avoir peur et bougn Timéa, et puis Timéa elle a mal et papa est triste.
Donc elle a bien compris qu’on monte sur le grand, elle s’assied bien droite regarde au loin tient la scelle pour faire un petit tour. Ce faisant sont chemin croise un groupe de fille qui faisaient le photo de classe annuelle avec comme fond le pic, et hopela on est repartis dans les cris et le photos avec tout ce qu’on trouve, appareil numérique, téléphone etc...
Kiara se fait changer les fesses dans l’herbe, par sa mère. Un peu de soleil pour chauffer le pet, une brise marine pour rafraîchir tout ça, elle fait de grands sourires.
On se dirige vers le bateau, on prend le chemin qui longe la cote, le parking est maintenant plein d’une 20 aine de bus. Sur le chemin on s’adonne au plus grand plaisir de Timéa, cueillir des fleurs. Kiara et elle s’accroupie souvent cote a cote et semble discuter sur la couleur des fleurs et la façons de bien les cueillir. En chemin on croisera quelques chevaux, un cheval many chevaux, oui papa...
Et on passera devant la fabrique de digue en béton. Les digues ici sont faites d’énormes bloques de béton d’une 10aine de mètres de haut et a 4 têtes. J’en avait déjà vu former une digue, ils semblent jetés la, les uns sur les autres comme un jeu d’enfant, mais vu la taille du jeu, je voudrais pas devoir changer le môme...
Je m’amuse a photographier les bétonneuses qui remplisse les coffrages en acier d’ou sorte de parfaite formes en béton, alignées les unes a cote des autres, numérotées méticuleusement et qui finiront en vrac dans la mer pour arrêter les vague la ou il n’y pas de vague de sable comme au plat pays qui est le mien. Si j’avais un grand jardin j’en pauserait bien un au fond je trouve ça beau ce béton tout lisse.
On monte dans le bateau qui part dans 5minutes, pour l’instant on aurait pas pu faire mieux au niveau planning, le plus longtemps qu’on ait attendu un bus c’est parce que le feu était rouge au carrefour avant l’arrêt, ou alors c’est juste une impression parce qu’on a pas le temps de s’ennuyer avec les petites qui nous inventent des jeux a n’en plus finir.
Dans le bateau on enlève ses chaussures et on s’assied avec les autres au centre de l’unique pièce, je somnole un peu pendant que Timéa regarde les nouvelles et que Kiara pince le nez de Gaëlle en faisant pouet pouet. La traversée prend 15minutes toute au plus, mais quand il faut se relever, ce n’est plus possible Gaëlle comme moi on a les mollets tétanisés. A la sortie du bateau on va manger au restaurant local, un riz gluant au abalone, bon on en retiendra que les filles aiment ça.
Et puis quoi on va marcher toute l’île ? Non pas le courage, alors on loue pour 3h une petite voiture de golf électrique, c’est la joie des plus petits et des grands. Gaëlle parce qu’elle peut s’asseoir, moi par ce que je peu conduire mon super cuistax et les petites parce que c’est cool comme le dit Timéa, c’est une bonne idée. Et nous voila en route, sans complexe on explore les moindres recoins de cette île. On ira voir un petit phare blanc qui fait front à l’océan. Il est entoure d’un cote de la mer bleu, de l’autre de roche de laves noirs que les gens se sont amuses a empilée. Le prochain arrêt c’est la plage, mais le vent est toujours très fort. La mer est bleu transparent, de petite tache vertes éclatant illumine le fond. Timéa se jette dans le sable, trop impatiente de faire des birthday cake.
On continue en voiturette notre tour de l’île, on ira voir les femme qui cueillent les algues des fonds marins en apnée et puis on les verra plus loin (enfin pas les mêmes) étaler leur cueillette pour la faire sécher au soleil. Timi intriguée se penche sur le sujet. Enfin on ratte le bateau de 5 minutes et le prochain est dans une heure. Mais on profite de la sale d’attente. Une version coréenne des télé tubises occupe Timi, Kiaretta dort. Le temps passe, le bateau arrive repart avec nous coucher dans son ventre. A la sortie on choppe un taxi qui fera une queue de poisson au bus pour qu’on puisse monter dedans. On ira manger cette fois dans un petit resto local qui nous fait un menu gargantuesque de porc et de canard.

Tous les soirs en rentrant à l’hôtel on dépose le sac dans le hall, Gaëlle monte préparer la chambre avec Kiara et moi je ressors avec Timéa pour aller acheter chez la marchande du coin 5 ou 6 tangerine. Ce soir sur le retour on a acheter deux roses, une pour l’hôtelière et une pour Maman. Du coup on reçoit en échange un fruit que je ne sais pas ce que c’est et que je ne sais pas comment on mange, et un paquet de 70 langes pour enfant de 12 kg... mais qu’est ce qu’on va bien pouvoir faire avec ça la veille de notre départ. Mais bon c’est gentil.

Dernière journée sur l’île, on quitte l’hôtel a 8h, Kiara dans la poussette, Timi sur mon dos, Gaëlle avec la poussette a pousser et deux sacs a porter (le sac photo et le petit sac à dos indien – on l’avait acheter pour aller en inde il y a 11ans). Moi je tire la grosse valise et jongle avec tout ça pour sauter dans le bus car malgré tout on est a court de cash 90.000 Won pour terminer la journée et traverser l’île. On voulait aller à la plage mais vu le vent, vu l’arrêt du bus, vu le poids, on termine à courir dans le jardin botanique ayant laissé tout le bardaf à la fille des tickets.
On mange une soupe lyophilisée et il est midi quand on la termine. La Gaëlle me sort bon on va voir le show a 14h. Sur l’île il y a trois show, un avec des motos, un avec des chevaux et un avec des éléphants. On ne sait pas où mais on demande a la fille des ticket en prenant les bagages, elle ne parle pas bien anglais mais dessine très bien. Griffonner sur un bout de papier le chemin a suivre on arrive à l’arrêt du bus. On monte dedans mais ce n’est pas un directe. Le chauffeur s’arrête et nous dis de descendre, juste a ce moment là le bus que l’on est sensé prendre s’arrête a l’arrêt d’en face. Notre chauffeur gueule par la fenêtre et pendant que je traverse en courant avec les bagages d’une soute à l’autre, une fille de voiture s’accumule derrière nos deux bus bloquant la petite route du village. Je saute dans le bus et tout le monde du bus me crie dessus, étonné je regarde ce que se passe, une vielle debout sur son siège regardant par la fenêtre crie au chauffeur qui me montre sa tête… Ils sont fous, mais non je comprends en regardant derrière moi, Kiara dormant à lâcher son chapeau. Je ressaute du bus laissant la petite dans son sac à dos dormant sur les marches, attrape le chapeau et entend dans ma tête la musique d’Indiana Jones lorsque le bus porte encore ouvertes se met a rouler avec moi juste dedans.
On arrive à Happy Town à 1h, mais le show est à 3h. On fait connaissance avec le staff à moitié chinois et on allume l’ordi pour regarder Toy story 2 (je ne relirai pas de lonely j’aime trop buzz l’éclaire).
3h le show démarre, la salle est comble voir archi comble, on était le premier dedans. Assis ou premier rang quand on s’est installé, il y a maintenant 3 rangée de vieux assis par terre sur des petits carrés de mousse. Le show commence les petites sont aux anges Gaëlle y compris, des tours comme à la télé, acrobate chinois se pliant en 4, motos qui tournent a 5 dans une sphère en acier (ça me rappel un show que j’avais vu avec mes parent en Espagne en 80 je crois … maman tu confirmes ?).
Le show est fini il est 15h il nous reste 3heures pour trouver un bus qui traverse l’île et nous amène a l’aéroport pour qu’on choppe l’avion. C’est ce qu’on fait et nous voilà de retour a Séoul. 21h info tourisme réservage d’hôtel, bus limousine, les petites au lit, Gaëlle dans un bain chaud, il est minuit, je ressors pour trouver des langes pour demain matin.

8eme jour 8 mai 2009

On se lève dépose les bagages à la réception et on part déjeuner au coffe bean du coin de la rue.
On marchera pour trouver un park au bord de l’eau mais c’est encore fort en chantier comme park. On en profitera pour apprendre a Timéa a traverser la rue seule en faisant attention a bien regarder (les vélos qui passent), se perdant pour trouver un taxi on finira par traverser le stade olympique (jeux de 88).
Un taxi nous extirpera de ce quartier pour nous jeter dans un palais royal, où un festival à lieux. Timéa dansera sous le regard de sa sœur et des 3 cameras de télévisions locales, On passera à l’atelier peinture et puis on ira faire un tour pour voir l’ambulance.
Enfin on mange un petit bout en sortant du par et on termine sur une promenade au centre ville ou une autre partie du festival fait le plaisir des petites, avec photos, ballons etc.
Pour finir on reprend le métro pendant 45minutes pour retrouver l station près de l’hôtel, petit hic une fois arrivé, on a pas l’adresse de l’hôtel et le nom que en anglais ce qui ne semble pas aider les chauffeurs de taxi. On finira par en trouver un débrouillard qui à force de geste de cris nous remet sur une route qu’on connaît, on charge les bagages et on retourne de la station d’où on vient, car c’est de là que part notre limo bus pour Icheon airport.
A nouveau in extrémiste on saute dans le bus qui restera coincé dans les embouts pendants 1h. On est sensé décoller à 19h40 et le bus arrive à l’aéroport à 19h10. Afin de préparer les petites au pire vers 6h30 j’explique à Timi qu’on va peut-être rater l’avion, qu’une fois arriver il faudra courir mais par pour jouer, quelle devra rester bien près de moi. Elle toute inquiète de rater l’avion me dis que non, on va pas le rater, le monsieur va attacher l’avion comme ça – en faisant de grands gestes de moulinettes avec les bras – et puis que va court court et que hop papa, mama, Kiara et Timéa vont monter dans l’avion brrrr ho to singapore. En gros elle avait raison, le gars à du l’écouter mais on est monté dans cette avion, je sais pas comment, mais en sueur ;-) vacances réussies.

Coree 4eme au 6eme jour

4eme jour 4 mai 2009
A moi de jouer. Il faut rattraper le choix éloigné de l’hôtel si je ne veux pas faillir aux yeux de ma femme. La veille au soir, j’ai négocié un taxi avec une touriste coréen qui parlait anglais, 8.30 le taxi est la et notre petite famille est prête. J’ai même trouvé de l’eau chaude derrière le comptoir de la réception pour le biberon de Kiara.
On file en ville direction le terminal des bus, là un kiosque info touriste. Et ça c’est de la balle, les kiosque info touriste sont des lieux de réjouissance en corée. Les filles y sont sympathiques, parlent anglais et sont vraiment débrouillardes. Celles-ci ne font pas exception, même si elles nous envoient a l’agence de voyage pour un tour en bus et que le bus est complet, elles nous dégotent un taxi qui nous fera le tour de tous les sites a voir de 9.30 a 16.00 Ce qui règle deux problèmes, celui des visites, celui de la consigne.
Alors il est pas bien le mari que t’a choisit, lance mon regard qui se veut fier mais qui est plutôt rassuré ;-)

On fait route dans la montagne vers une grotte ou un bouda plus que centenaire médite sur sa composition de pierre granite.
Une fois parque le taxi attend alors que nous passons la porte du site ou un chemin de terre battue sillonne entre les arbres. La lumière douce du soleil entre les feuilles vertes tendres du printemps, un petit vent et une odeur de foret nous font apprécier les vacances.
Timéa devra définitivement courir le marathon des petits l’année prochaine, elle part en courant suivit de Gaëlle pendant que je porte Kiara sur mon dos.
Kiara et moi on s’amuse à faire crier les filles de joie. C’est d’ailleurs assez facile car elles sont plus que nombreuse (environ 3 cars d’école remplit de teenager en uniforme a socquettes blanche), s’extasie devant la petite et réagissent comme si il y avait la camera du juste prix qui les filmait.
Alors que Kiara leur faire bybyeeee de la main elles hurlent et font des petits bons sortant leur téléphone pour faire une photo. 15minute de marche plus loin, je retrouve Timéa qui papillonne autour de Gaëlle qui attend dans la file de l’entrée de la grotte. Timéa me donne la main et escalade les rochers qui bordent l’escalier. Hop hop hop on arrive en haut on passe devant boudha et on redescend devant le temple ou un bouddhiste prie. Timéa très intriguée enlève ses chaussures pour aller voir de plus près, elle aussi veut jouer de la cloche et du tambour mais on lui explique qu’elle ne peut pas. Alors c’est pas grave elle fait comme le chauve, elle met ses petite main jointe devant son front et se prosterne comme le monsieur, gardant un oeil pour voir si c’est bien comme ça qu’il fait.
On joue avec les lampions mis pour la fête de bouddha et on refait en courant tout le chemin jusqu’au parking. Je me pause 5minute pour faire des photos de la cloche ou a l’aller on a jeté des pièces et quand je me retourne les petites et Gaëlle on été faire un petit pipi.
La route que nous avons prise pour monter au matin n’est plus qu’une file de voiture sur 8km. Heureusement on est partis tôt ce qui nous a permis d’éviter ça.
Au deuxième temple Timéa est un tigre. Elle court après moi dans la forêt et prend des pauses à Bruce lee. Les mains toutes griffes sortie devant le visage, les babines retroussée, et elle crie en courant vers moi "I’m going to biiiiiiiiiiiiiiiittttttttttttteeeeeeeeeeeee youuuuuuuuu." A tel point que plus loin lorsque quelqu’un tente de l’approche pour faire une photo, elle lui court derrière en grognant et en faisant aller ses griffes dans le vide comme un petit chat qui attaque. Elle arrivera même à effrayer une petite fille qui fait deux fois sa taille.
Kiara l’imite et court en faisant son grrr grr du tigre, Gaëlle et moi on les suit du regard a tour de rôle et on profite du site ou une foule de coréen s’agite.
La journée continuera comme ça, de visite en visite, chaque bâtiment étant dans un parc ou il y a moyen de jouer a cache cache, de cueillir des fleurs ou des feuilles, de faire le tigre, d’être manger ou de manger, de boire de l’eau en se partageant le bouteille, de regarder les poissons, les bulldozers, les maisons...
Le repas de midi se passera nettement mieux que celui de la veille au soir, tout le monde ayant retenu les erreurs de la veille et faisant de son mieux pour ne pas le répéter.
Enfin 4h arrive, on est extenué de marcher, courir, porter.
On se fait déposer a la gare des bus, notre chauffeur nous pousse dans le bus de 4h pour Busan, il nous revient même avec les ticket et les filles lui sert la main en faisant leur si célèbre Bye bye uncle.
Gaëlle me demande ce que je veux faire a Busan parce que le plan c’était d’essayer de prendre un ferry pour Jeju, mais voila on avait pas lu jusqu’au bout, ca prend une nuit de bateau...
Le bateau démarre à 19h, le bus arrive a 17h. On se regarde avec Gaëlle, et on se dit qu’on a rien à perdre à essayer. Arriver a 17h on file a l’info tourisme on leur explique notre plan, ils appellent le bateau, il y aurait encore de la place mais c’est pas très clair. Il n’en fallait pas plus, on saute dans un taxi qui nous fait le coup du pas de compteur, du prix moins cher du je te rallonge le contour de la ville parce que t’as voulu prendre le compteur, mais malgré tout 17h55 on est a la gare des bateau. Gaëlle avec Kiara qui dort dans le bras court pour voir ou est le comptoir, moi je fais chier un peu le chauffeur de taxi pour avoir un ticket (pas que j’en ai quelque chose a foutre mais pour le principe). Gaëlle a l’info, ce qui reste c’est une cabine VIP, moi j’ai la carte visa. La voila qui frétille et hop en un coup de scan, 198.000 won de payer pour une VIP une.
Gaëlle s’inquiet un peu, elle se revoit au philippine sur se bateau ou tout le monde vomissait. 18.30 On embarque. Les précautions sont prisent pour ne pas tomber malade. On fait le tour du bateau temps que celui-ci est a quai, on observe les chantiers naval de Busan, le port industriel, la colline ou, sur la cime, un petit nuage c’est accrocher, le coucher de soleil qui enflamme le ciel sur lequel une tour futuriste se détache et enfin la fumée noire de notre bateau qui masque la lune déjà levée. Des que le bateau est en route on traîne encore un peu sur le pont avec les étudiants qui nous prennent en photo en faisant des very kuty very kuty a Timéa et Kiara. C’est formalités de star terminées, on file manger tout de suite, on a trois bouteille d’eau, on a des chips et on bourre les filles de biscuit au chocolat, de pommes et de biberon. On prend une petite douche et on se met au lit il est 20.30. La nuit sera agitée le bateau tape et roule dans tout les sens je le sais parce que j’ai été pisser et, la porte de la toilette ouverte j ‘ai vu passer le disque blanc de la lune plusieurs fois devant la fenêtre comme si elle s’était mise a danser, mais c’est nous dansions. La nuit est glaciale notre cabine VIP 3 façades perd sa chaleur, Kiara tousse un coup et c’en est trop, les filles se retrouvent sous la couverture avec nous car j’ai peur qu’elles attrapent froid. Je me rend compte qu’elle n’en ont rien a foutre d’avoir une couverture en plus car elles sortent des qu’elles peuvent, mais bon je les garde avec moi je me sens moins coupable que de les savoir dormir par terre et puis moi j’aime bien avoir la couverture en plus.

Jour 5 5 mai 2009
Malgré une nuit un peu agitée on est en forme, la sirène du bateau nous réveille à 6h précise, lorsqu’il rentre au port de Jeju. On se rassemble petit a petit on émerge le ventre encore un peu barbouille, la tête dans de l’ouate, les filles dorment encore un peu le temps de l’amarrage puis on sort dans la fraîcheur du matin.
Premier réflexe l’info touriste, la fille se renseigne, le Hyatt est a 238.000 Won la nuit... un autre a 300.000, je discute avec Gaëlle je retourne la voir elle me trouve un autre hôtel a 100.000 dans le village voisin. Pour s’y rendre rien de plus simple, prendre un taxi pour l’aéroport et la le bus 600. On s’exécute sur le champ, et à l’aéroport son fait une pause de 45min histoire de manger deux muffins et un espresso chez paris baquette et aussi d’acheter des tickets d’avion pour le retour à Séoul vendredi soir.
Content de cette organisation improvisée parfaite on saute dans le bus 600 qui démarre (comme s’il nous attendait). On ne trouve pas l’hôtel prévu mais on fini dans un des milles motel, simple et pour 40.000 la nuit. Les petites on un futon par terre et moi et Gaëlle on se partagera le grand lit double. On redescend au port voir les bateau de pêcheurs, deux navires de guerre et les poissons dans les aquariums des restaurants.
Mais on est pas inspirer pour la bouffe alors on ira grignoter deux cuisse de poulet et une soupe dans un petit bouiboui. On repasse faire une bonne sieste a l’hôtel et après direction la plage.
A la plage, le soleil chauffe encore mais il ne brûle plus, il est 16.30 et merde alors... Chouchou c’est toi qui a mon sac avec l’appareil photo ?
- Non
-haaaa soupir...
Je ne sais pas si je l’ai pris, je ne pense pas l’avoir oublier dans le taxi, c’est moi qui ai vide le coffre... Bon soyons rationnel, imaginons que j’ai cru le prendre mais que en fait non. Il est donc dans la chambre d’hôtel profitons de la plage, ne soyons pas matérialiste. Mais quand même ça fait chier, il sort de réparation, je viens de me payer un objectif... pour le pris j’aurais pu passer la semaine au Hyatt... mais ok stop focus sur les filles, ces souvenirs la personnes ne me les enlèveras. Mais c’est con Timi qui joue en culotte dans l’eau froide avec cette lumière de soleil de fin de journée ça aurait fait une super photo.
Timi joue avec deux petites coréennes, difficile de donner un age car quand elles ont le même âge elle font le moitié de la taille, alors quand elle on la même taille, je ne sais pas quel age ça fait.
Pendant que Timi déclasse ses fringues dans l’eau de mer, Gaëlle est partie avec Kiara qui ne voulait pas mettre ses pieds dans le sable. Toutes les deux jouent sous les douches, Gaëlle court après Kiara qui en lange fait des ablutions dans l’eau froide.
Je les rejoint avec Timi pour la rincer du sable mais les douches sont maintenant occupée par les 8 bus d’adolescentes en crise de fou rire. Je les avais observées de loin se jeter à l’eau les unes les autres toutes habillées. Et maintenant elles se rincent toutes habillées sous les douches ou je cours après Kiara et Timéa. Bon ce n’est pas l’endroit pour faire des commentaires sur ces teenagers en-t-shirt blanc qui se rincent la culotte pleine de sable ni vu ni connu (vraiment dommage que je n’ai pas ce putain d’appareil photo !)
Sur le retour on se prend un morceau d’ananas plante sur une baguette de bois. Ce qui nous vaut un nouveau détour par la fontaine pour rincer ces petites bouches et mains qui collent.
On finira la journée dans un restau bar américain à manger un bon gros steak frites avec un spaghetti boulette pour les filles.
De retour a l’hotel je monte les marches 4 a 4 j’ouvre la porte de la chambre et merdeeeeee. Pas de sac photo. Gaëlle me demande de descendre chercher de l’eau chaude pour le biberon de la petite, je lui dit ok mais me parle pas je suis pas de bonne humeur. Elle n’en demande pas plus elle a compris. A la réception la dame ne parle que coréen mais je tente le coup. Je mime la prise d’une photo et elle me sort de dessous le comptoir mon sac noir. Ho putain ça fait plaisir, on a beau se dire au dessus de tout ça, ça m’aurait vraiment fait chier de ne pas pouvoir vous montrer les photos du reste du voyage ;-p
Tout sourire je mets les filles au lit.

6eme jour 6 mai 2009
Debout tôt, on a une journée chargée. L’idée c’est de prendre le bus pour aller monter en haut de la montagne du milieu de l’île. C’est un ancien volcan et les photos ont l’air très jolies car au centre du cratère se trouve un lac.
On démarre il est 8.30, on prend un taxi qui nous amène a la gare des bus de notre village. Mais là pas moyen de savoir quoi. On décide de prendre un autre taxi pour aller à la gare des bus de l’autre village. Le chauffeur a l’air surpris et on comprend pourquoi, il n’y a pas de gare des bus dans l’autre village.
On lui montre notre plan, c’est nous ici, bus brrr jusque la. Une lumière s’illumine et il se met à rouler. A un coin de rue il nous jette et se barre. Met bon on tente le coup vu qu’il y a un arrêt de bus... On sait quand même pas trop si on est la pour 10 minutes ou 6h ni si le/les bus qui passeraient par ici vont ou on veut. Je me pousse a la petite baraque d’a cote, et la le gars parle anglais il me dit que c’est le bon arrêt et que le bus passera a 9.15 soit dans 10 minutes. Ben cool alors.
Le bus monte la petite route sinueuse et termine sa course sur un parking. Le Lonely annonce 4,7km, nous on se dit que c’est jouable. Ca ne fait jamais que 9,4 km en une journée. Moi j’ai le sac a dos pour Timéa et Gaëlle l’écharpe pour porter Kiara. On passe la porte et un petit chemin de bois longe une route. Timéa fille en courant monte la pente et ne semble pas vouloir ralentir, je la suis a grand pas, déjà on perd Gaëlle qui marche au rythme de Kiara qu’elle tient par la main. Timéa fatigue on a fait 1km. Je la monte dans le sac a dos, pendant se temps Gaëlle nous rejoint avec Kiara dans l’écharpe. Etrange quand même de suivre une route, mais on comprend plus loin, on est a 1,5km reste 1,5km avant l’entrée du site. Le bus ne va pas jusqu’à l’entrée.
Mmm On peine déjà et on a pas encore commence. A 750m de l’arrivée Gaëlle arrête un taxi qui nous fait franchir les derniers mètres à l’oeil. La on se pause au premier bistrot on bouffe deux glaces on se tape une boisson isotonique on achète des chapeaux pour les petites. (Y a deux truc qu’on achète a toutes nos sorties, c’est soit des chapeaux soit une pelle et un sceau pour la plage, vu qu’ici il n’y a pas de sable on prend les chapeaux).
Bon la on est prêt on attaque, mais en fait on est pas la ou on voulait la montée ici ne fait que 3,7km, fastoche encore plus simple que le plus simple du Lonely. On aurait quand même du se douter que si on part de la même altitude et qu’on arrive au même point avec une chemin plus court c’est que ça monte plus...
Mais non Timéa est déjà repartie en courant sur les marches qui s’échelonnent dans les sous-bois, je la rattrape et on saute d’un pied sur l’autre, d’une marche a une pierre de lave et d’une racine a un banc. Même scénario 1km plus loin elle me monte sur le dos calée dans le sac Kiara et Gaëlle nous rattrape alors qu’on profite elle et mois le cul sur pierre chauffée au soleil en chantant papa black sheep have many many moule, one for the master and one for the boy, one for the little boy down de ligne (ses la version Timi)
On continue la grimpette, ho putain ça montre, des marches en bois suivies par des marches en pierre de lave. Timi dit hello a tous ceux qui descendent, Kiara dort.
On croise les 8 bus de filles, la ou il y a à peine de la place pour se croiser, elles descendent nous on monte, et ce sont 3000 kute et que je te touche Timi et que j’appelle ma copine, HHHHHHHAAAAAAAAAAAAA putain plus que 2.7km comme ça ( on a déjà fait 1km pour ceux qui suivent) mais je vais mourir, j’ai les jambes en coton, les marche en pierre font 30cm et sont irrégulières, Timi et le sac font dans le 15kg, on est a 1400m, et je suis au milieu de 3000 hystériques. Bon zen un pied devant l’autre on y arrivera. Ha une borne information, plus que 2km, on est a la moitie il est midi...
Ca fait déjà 3h qu’on marche dont 2h de grimpette et 1h dans les escaliers, on pense à faire demi tout, mais on va d’abord faire une petite pause. La vue est magnifique, on voit l’île qui s’étend devant nous, la mer au loin, assi sur notre petite terrasse en bois suspendu a la montagne, on mange notre dernière orange, les filles terminent les 3 boites de raisins secs, le Milo, les deux biscuits, et voila on a plus rien. Pas de panique elles sont calées on continue, et puis si on a faim on cuira une étudiante ils ne verront pas qu’il en manque une, il y en a tellement. On continue, et plus que 1km, mais facile, la cote escarpée c'est mutée en alpage suisse, une petite passerelle de bois ondule suivant les courbes de la colline, les petites dorment, les hystérique sont passée. On souffle, on souffre mais on aime ça. On est a 1600m, il y a toujours du monde sur le chemin ce qui est rassurant. J’explique a Gaëlle un épisode de "I shouldn’t be alive" de gars qui meurt de soif dans le grand canyone quand devant nous une source d’eau fraiche et clair, les coreen y remplisse leur bouteille, se masse les genoux avec et la boivent directement a l’aide d’une louche attachee la.
On fait le plein et on termine les 750m a pied cette fois pas d’échappatoire. Enfin en haut il est 2h. La rien a part une cabane ou un gars vent des biscuits au chocolat et des soupes de nouilles instantanée, on en prend 3 et tout le monde se régale (ca a un gout de transsibérien pour ceux qui suivent depuis longtemps).
2.40 on repart on a le choix, redescendre par ou on est venu, ou prendre les 4,7km qu’on voulait faire. Ben allons-y faisons les 4,7km on est pas des tappettes. Timi court sur la passerelle en bois qui redescend, elle court court et... vlan Gaëlle court vers elle car moi j ; ai Kiara dans le sac a dos. Bon rien de bien méchant une égratignure au genoux et bcp de bisous c’est repartis. Elle fait bcp de cinéma expliquant que ça pique qu’il faudra pas oublier de mettre de la crème et un sparadrap a l’hôtel qu’elle veut voir toute la famille, mamy, Nono, même, tata nini, aiko, antoine, tata dani, tonton gaetan pour leur explique qu’il faut faire attention parce que sinon cour cour et puis boum bobo mais c’est pas grave later ça passe.
Bref je la reprend sur le dos quand les cailloux recommence et on terminera les 3,7km d’escalier restant en souffrant dans les jambes et on faisant attention de pas perdre l’équilibre emporte par notre poids supplémentaire.
Il est 16.15 quand on arrive en bas. Je m’informe pour un bus, et on me dit que le bus passe dans a 16.34 chouette c’est dans 10 minutes, mais que l’arrêt c’est plus loin, a 10minutes de marche. On voit un taxi on lui demande et il nous dit nonon marcher en faisant des petits signes de jambes qui marche avec ses doigts, putain de sadique !!!!!!!!!!!
Pas le temps de discuter, je choppe Timéa sur mes épaule et je commence a courir du mieux que je peu, Gaëlle suit le mouvement
A bout de force on se pause a l’arrêt de bus, une minute plus tard le bus est la. On rentre manger un bout au même restaurant qu’hier les petites se racontent des histoires en courant sur la terrasse, pendant que Gaëlle rêve d’un spa et que je me mange un flan au caramel.
Conclusion on a tout fait en bus, on a monte un escalier de 3,7km de 1130m a 1700m on en a descendu un de 4,7km et au total on a bien marche 10km dont 8 en portant les petites. Ha oui on a jamais vu le cratère parce que ça c’est encore 15km de plus mais heureusement c’est ferme jusqu’en 2010 pour laisser le temps a la flore de se refaire.

Korea Seoul


Sorry pour le nombres de fautes multipliés par 1000, mais avec un clavier qwerty pas facile d'écrire en français... (déjà c'est pas facile...)

N N N N N NNNNNNNN NNN N N N N,LOKUKO9. ;-)  OOOOOIvgBKLLLPO098765EWWA

Voila ca c’est le texte de Timéa, elle s’amuse a reconnaitre les lettres du clavier et les retrouver sur l’écran dans un grand "SOooooooooooo Funnny yeaaaaaaaaahhhhhh.."

On a pris l’avion hier soir de Singapour, décollage du terminal 3 (mon préféré) avec pleine de jeux, et chocolat chaud. On est dans l’avion vers 23.30, décollage ne se fait pas attendre mais c’est déjà trop long pour moi je dors avant même que l’avion ne décolle, quand je rouvre les yeux 2h plus tard Kiara s’agite dans son bassinet et Timéa dors sur le siège entre moi et Gaëlle.
Je prends Kiara sur mes genoux car nous traversons une zone de turbulences.

Arrivée à Séoul à 6h du mat, on se vautre dans un taxi limousine et on se rendort. L’hôtel le PJ Séoul, est chic et convenable. Situe prés de la N tour de Séoul au pied de la montagne. Comme on ne peut pas faire le check in avant midi, on ressort direct et on se perd dans un parc ou les filles jouent avec des cerceaux métalliques comme le faisait nos grands parents. Le temps est merveilleux, un grand soleil radieux réchauffe et l’air est frais.
Les filles rigolent et sont un centre d’attraction, étonnamment pour une fois c’est Kiara qui a la cote. Les jeunes se poussent pour les photographier et nos deux princesses se prêtent relativement bien au jeux. On continue la promenade en passant le long d’un petit ruisseau ou les filles vont plonger les mains. Et puis on court la pente qui descend à la capsule temporelle. Lieux ou les coréen on enterres pour 400 ans des bibelots, genre de machine a avancer dans le temps a la vitesse normal.

On rentre a l’hôtel âpres avoir mange un bout dans une petite rue. La une dame nous a allumer le petite réchaud a gaz du milieu de table et on y a fait griller de la viande avec des champignon et des gousses d’ail. Le tout servis avec des feuilles de salade, du riz japonais (collant grain plus rond). La dame ne parle pas anglais mais le Lonely et son lexique bouffe nous permet de nous en tirer, ajouter a ça deux trois photos au mur et le tour est joue.
Arrive a l’hôtel, Kiara dors déjà dans le sac a dos, on check le chambre et 30 minutes plus tard, tous laver on sombre dans unes sieste de 4h.

La toilette est équipé du jet pour se laver le cul, Timéa qui est propre s’assied pour faire pipi, Kiara qui est curieuse pousse sur les boutons, la machine se met en route, un petit bras articuler sort et un jet d’eau chaude vient laver la postérieur de Timi. Effrayer celle si bondit en avant et un jet sort de la toilette jusque par terre. On prendra le temps d’expliquer a Timi qu’il n’y pas de danger de faire pipi temps que Kiara n’est pas dans les parages.

Les yeux encore mis clos on s’extirpe du lit, et on prend un taxi pour le câble car. Ca me fait toujours bizarre de prendre un téléphérique quand il n’y a pas de neige.
En haut on observe la nuit qui tombe, l’agitation et la tour de Séoul. Bref on tourisme. Ici la barrière sont couvertes de cadenas comme à Petch en Hongrie. Les amoureux viennent officiellement sceller leur amour, ce qui me fait marrer ce sont les cadenas a combinaison de 3 chiffres. Vachement pratique si jamais tu veux changer, moi si ma copines me fait ça je me méfierais quand même.
Pour redescendre on saute dans un bus (n’importe lequel) et pouf on atterri la ou le matin on avait pris notre pain au chocolat et notre lait bio. Sur ce on va dans un petit resto ou on mange une soupe et un poulet panné.
Les trois gars de derrière a moitie bourre au saké mais super sympa, discute avec Timi et nous disent qu’elles sont belles nos filles, on se promène un peu plus bas pour montrer les aquarium de sea food au petites.

Tous le quartier de l’hôtel est occupe par des imprimeries, les trottoirs sont jonchés de sacs de jute remplis de chutes de papier, et des palettes de papier de toutes qualités, vierge ou déjà imprimés, circulent sur des motos a 3 roues, même lors de notre retour dans le noir, les petits atelier ronronne du bruit de presses qui encrent ces feuilles trop blanches.
Si j’avais su j’aurais fait imprimer mes cartes de visites.

2 mai 2009 / Jour 2.
Il fait moins beau, on se dirige vers la gare. Timéa a mange comme une reine au petit déjeuner, pas de biberon, mais oranges, tartines, yaourt, jus et autres bouchées de saucisse.
On a saute dans le métro, ligne bleu ciel. Séoul station ciel gris. On se faufile de file en file et on pêche deux tickets de train pour demain. Il y a du monde et par deux fois je dois vraiment courir après cette petite peste de Timéa qui veut jouer a cache-cache, elle court vite et se cache bien. Elle ne comprend pas le danger, ici il n’y a pas de voiture et pour elle les gens sont autant de cachette, mais je ne suis pas a l’aise rien de dangereux mais trop de monde vraiment trop et avec le succès qu’elle. Pas facile de gérer ces petits bouts la.
On prend le métro ligne bleu sombre, une heure mais attention il faut prendre le bon. La ligne se divise et on a une chance sur deux, ben pas de chance, on n’a pas du bien regardé les signes en coréen, mais toutes ces petites barres et ces petits ronds c’est confusant aussi !!!
Bref deux sauts en arrière pour repartir de la case 12, le jeu de l’oie ça ne se démode pas. Nous y revoilà dans le bleu sombre qui va ou on veut.
On arrive à la gare de Suwon, mais il pleut... que faire ?
On continue on croise les doigts mais avant on mange un bout, on achète un pantalon pour changer Kiara car son lange a perce et on arrache deux parapluies a l’étalage d’un boutique. Apres une hésitation taxi / bus on s’endorme dans le bus et on arrive a village folklorique il est 2pm.
On traîne dans la boue pendant deux bonnes heures en évitant les gouttes du mieux qu’on peut. Mais pas facile avec Timéa qui porte un parapluie et Kiara le deuxième.
On croise des chèvres, une jument et son poulain, et une vache. Timéa habituer au zoo me demande ou sont les tigres et les singe et Kiara enchaîne en faisant un grrr terrifiant entre ses 5 dents suivit d’un ou ha ha digne d’un filme de tarzan de le jeunesse de mon père.
De plus en plus boueux le pantalon de nos fripouilles se refroidit et il est temps de rentrer. Timéa arrache de ses yeux vorace une douceur un miel a un couple, et Kiara finira par négocier toute le boite. On en est gêné mais elles font déjà tank you bye bye au couple qui part en courtant effraye par ces monstres de parents qui ne nourrissent pas leurs filles.
Kiara pleurera tout le retour en bus, d’horrible hurlement de rage, les yeux fermes a moitie endormie, la faim, le froid, la fatigue et le fait qu’elle ne peut pas porter son parapluie bleu ouvert dans le bus font partie des facteurs identifiable, le gars assis devant nous se serait jeter par la fenêtre s’il avait pu.
De retour a Séoul centre on décide de se réchauffer dans la chambre et de manger a l’hôtel.
Mais voila pas de restaurant, enfin si deux, le premier est réservé pour un anniversaire, le deuxième est fermé. En chaussette et n’ayant pas le courage de ressortir je vais faire un mini scandale à la réception et on fini par nous livrer 30 minutes plus tard une peperoni et une bacon cheese avec un sprite et un coca. (1,5litre de chaque)
Timéa est au ange elle termine son dessin animé et saute de joie devant le pizza encore trop chaude.

La nuit est bonne, Kiara étant tombée de son lit 4 fois la nuit d’avant, dont la dernière fois sur la tête, l’hôtel a court de baby cote nous a fournis 3 couette supplémentaire pour faire un lit par terre, et ca marche bien.

3eme jour 3 mai 2009.
Le plan c’est de prendre le train a 13h.
Mais avant on va en vitesse se perdre sur les collines de Séoul. On y arrive en métro et nous montons une rue qui monte ;-) mais vraiment pentue, au bout de 5 min on ne sait déjà plus ou le Lonely voulait qu’on aille mais bon on arrive en haut (a force de monter).Là on prend un escalier, Gaëlle avec Kiara sur le dos et moi la poussette dans une main l’autre tenant le main de Timéa.
On longe tant qu’on peut une vieille muraille a l’architecture plutôt orientale et on fini sur une route longée par un parcourt santé ou Timéa et Kiara joue sur les engins avec les vieux du coins qui y maintiennent leur forme.
Vraiment perdu, on décide de redescendre en ce faisant on croise une plaine de jeux entre les barres d’habitation tellement typique de la Corée. Bref hop par-ci hop par-là et le temps fille. On arrache les poulettes de leurs montures a ressort et on retrouve des petites rues blindée de salon de coiffure, la au feux rouge un taxi, on saute dedans.
On passe a l’hôtel rechercher les valises, le temps ensoleille et frais contraste avec celui d’hier mais ce n’est pas pour nous déplaire.
A la gare on achète un petit pull pour Timéa. Ce n’est pas du luxe elle court depuis Honk-Kong avec celui acheter au Viêt-Nam l’année passée, un pull a deux sous qui commence a se découdre sur la manche. Et puis elle est la seule, comme elle nous l’a fait remarquer, a ne pas avoir de capuchon. De fait Gaëlle a aussi toujours son jumper du Vietnam blanc avec une ligne rose très vintage, mois j’ai mon champion gris que mes parents m’avaient apporté pour survivre a l’hivers africain (il y a de ça presque 4ans) et Kiara porte sont petit pull brodée par même avec une capuche au bout de laquelle pend une fleure fuchsia (il est aussi couvert d’orange, souvenir d’un fanta bu a la va vite).
Apres quoi on file au food court local, la il faut réserver son plat au comptoir central, je fais donc le choix pour toute la famille pendant que Gaëlle surveille les petites. Lourde responsabilité qu’a celui qui choisit le nourriture, il faut que ça plaise a tout le monde (y compris Gaëlle), que ce soit aussi sain que possible, et pas trop chaud car on a pas mille ans non plus avant le départ du train. Mais vu que tout est écrit en coréen, je prends un truc qui ressemble a de la soupe et un autre a des nouilles. Je reçois deux ticket le 539 et le 540 (je me croirais au service après vente de chez ikea ce qui n’est pas pour me mettre en appétit).
Pour finir les deux numéros sortent de manière totalement aléatoire a deux comptoirs différent. Je me retrouve avec une soupe de nouilles et une soupe ou ils ont mis la moitié des champignons des la forêt voisines. Toutes les deux sont bonnes, les petites se goinfrent de pâtes ; mission réussie. On avale, on emballe, on dévale l’escalier et on arrive à déchiffrer les barres et les ronds de notre ticket de train qui correspond a tableau afficheur, pour embarquer sur le quai numéro 2. Assis dans le train a cote d’un couple de rock star pur produit pop Coréen on s’endort tous. 5 heures et un Toys story plus tard on est à Gyeongju.
Gaëlle me laisse le choix de l’hôtel, car elle m’a demandé de lire le chapitre sur la ville dans le train (enfin dans le guide lonely quand on était dans le train ;-p)
Je dois bien avouer j’ai fait semblant de m’y intéresser et au bout de la troisième tombe de la reine du 10eme anniversaire de sa soeur lors de la guerre avec les japonais, je lui ai rendu le guide en lui faisant un "ok" très archéologue, suivant de l’autre oeil buzz l’éclair qui pense s’envoler alors qu’il n’a fait que rebondir d’un objet a l’autre et de me dire que ce truc est vachement bien foutu dommage que je ‘ai qu’une paire d’écouteur avec...
Mais à la sortie du train, la traîtresse me laisse le choix de l’hôtel. Genre d’interrogatoire pour voir si j’ai bien lu mon chapitre, et de me faire comprendre qu’on n’improvise pas un voyage. Bien sur je me plante magistralement en demandant le suisse hôtel au chauffeur de taxi. Le suisse hôtel n’est pas a Gyeongju il est dans le village a 20min de la alors que (je l’apprendrai de Gaëlle plus tard, une fois la chambre payée et les petites installées) toutes les visites a faire sont a Gyeongju, en un seul mot : Lamentable mon cher mari.
Mais bon j’ai pas réussis mes étude du premier coup, je me démonte pas, je lui dit qu’on verra demain et puis pour finir on est pas au suisse hôtel non plus car il est complet, on dans un motel a cote, Na !! ;-p
Dans la chambre, une commode pure produit Walt Disney est flanquée au bout du lit. Le miroir assortit avec un cadre de bois sculpte de courbes et peint de nacre et jaune brillant, font la plus grande joie de Timi et Kiara. Timéa n’est plus Némo (ça fais un mois qu’elle m’appelle papa Némo, je sais il s’appelle Merlin mais elle veut pas me croire).
Elle est une princesse et tente de se coiffer les cheveux avec un grand peigne asiatique. Même si les dents du peigne sont espacées de 3cm, il y a tellement de noeux dans ses cheveux qu’elle n’arrive pas à se coiffer.
On va manger dehors, en passant on assiste a une pièce de théâtre genre Chantal Goya en coréen avec ce qui semble être un homme grenouille (non pas avec des bouteilles mais déguiser en vert avec de gros yeux) et une femme tambour. De la fumée, des spots de toutes les couleurs, des champs, un peu de chorégraphie à la bio-man font le plus grand plaisir d’une centaine de personnes dont mes deux petites qui applaudissent et dont les coeurs accélère au rythme des cris et de la musique.
Sur ce temps moi je cherche un restaurant et on va manger à l’entracte. Je ne parlerai pas des scènes qui suive bien trop cruelle elles ont été censuré, mais je peux quand même vous dire que Timéa c’est pris sa premier fessée tellement elle a dépassé les bornes, je sais c’est pas un excuse.