Lilypie Kids Birthday tickers

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Daisypath Vacation tickers

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lundi 3 août 2009

Back to belgium


Une semaine en Belgique histoire de faire un gros bisous a un maximum de gens de la famille. Je rentre seul car le chantier de Sentosa sur lequel Gaëlle travail n’est pas prés de ralentir la cadence et que Gaëlle a une semaine de congé en moins que moi.

L’avion est réservé depuis mars et après quelques petites négociations familiales, il semblerait qu’on a une ébauche de planning pour les 10 jours.

Gaëlle nous pousse dans un taxi le vendredi soir et tandis que les filles lui font de petit signe de la main debout sur les siège en simili cuir, le taxi franchi le portail automatique du condo. En route vers l’aéroport Timéa sur les genoux me supplie de la tenir alors que Kiara assise a cote de moi fait son possible pour que je ne la tienne pas.

On franchi les différents guichets, check in, douane, grippe etc... Un fois dans le temple des avions on prend un Sprite et on file au play-ground de l’aéroport.

Une heure plus tard il est 22.30 on passe la sécurité, poussant la poussette d’une main portant Kiara de l’autre je récupère mon téléphone alors que Timéa court déjà pour jouer a cache-cache. On jouera a la marchande en utilisant la cabine de fouille inutilisée et ensuite on embarque dans le fameux A380.

Un jeune a la jambe abimée était assis dans le 3eme siège, mais au bout de 10minutes il réalise qu’il va passer 12h avec nous alors quand l’hôtesse lui propose une autre place il s’encoure. Comme quoi nos petites sont miraculeuses elles ont déjà guérit le garçon...

Le vol se passe bien entre Timéa et Kiara j’arriverai a regarder 2 film et a dormir 1h. A moment je me retrouve avec Timéa dans le bras gauche et Kiara dans le bras droit.

Au réveil Kiara un peut fatiguer fera une petite crise pour avoir des raisins mais rien de bien méchant juste de quoi avoir 3 hôtesses pour moi tout seule, j’adore ma petite !!!

Atterrissage a Paris, Mamy nous attend avec la voiture de Nono, l’Audi A6 semble glisser sur la route tandis que les petites endormies derrière nous offre un peu de silence pour échanger les dernières nouvelles de la famille. Gaëtan en Afrique, sa voiture cassée, en vente ou vendue... leur maison a Bruxelles, les travaux rue blanche... après l’embranchement de Lille on fait une pause pipi, café (du vrai) et koek au chocolat, mmm c’est bon.

Enfin on évite tous les embouteillages de ce premier Aout et on arrive a la Oostduinkerk, Les grand parents sont un peu craint au début mais ca passera. On mage du riz et des tomates farcies et c’est la première fois que Maïté est a la mer...

Dimanche matin, il est 5h ici, 11h du matin pour nous. Les filles m’avaient demandée de les mettre au lit hier soir a 7h ce que j’avais fait avant d’aller regarder le journal parle a la RTBF ou les nouvelles s’étaient limiter aux files de voiture du dimanche noir du 1er aout et a un soldat mort en Afghanistan après un conflit arme de 8ans, déjà...

J’essaye de faire comprendre a Timéa qu’il fait encore noir tout en sachant que c’est peine perdu mais ca me permet de rester coucher 20minutes de plus dans le lit en grommelant des justifications enfantines sur les raisons pour lesquelles il faudrait dormir pendant la nuit, alors que Kiara me saute dessus et que Timi contre chacune de mes excuse par une justification imparable du genre : I Love you, you want to play with me, Nooo il fait pas noir regarde la une lumière (me montrant le reflet d’un lampadaire dans la vitre...), elle fini par me convaincre en me disant qu’elle a faim et qu’elle veut manger du gâteau au chocolat que mémé a prépare. Alors oui la je veut bien !

On allume les lumières devant nous en éteignant celles dernière nous pour ne pas trop réveiller tout le monde (hypocritement on se persuade que les lumières sont plus réveillant que les cris de Kiara qui marche dans le corridor comme si ses jambes étaient de petits ressorts).

On s’assied dans la cuisine, les filles sur la banquette en brique recouverte d’un coussin a carreau brun et blanc qui est plus âge que moi, moi maintenant que je suis grand je me pose sur le tabouret. Avec une cuillère en argent je fourre de gros bout de chocolat tout a tour dans le bouche des filles et la mienne une fois sur deux (ou deux fois sur une...)

Point de vue de Mémé :

Noir, noir, je vous jure qu’il fait noir. Et en plus il pleut. On entend l’eau qui glougloute dans les gouttières. Mais il n’y a pas que ca, il y a du bruit plus loin des petites voix pointues qui chantonnent et qui pillaient puis une grosse voix qui fait le contrepoint. Ca y est les occupants de la chambre du fond s’éveillent. Erik me dit : tu veux que j’allume ? au secours il est 5h45. mais ce ne sont pas les vacances !!!! Mais si, et ce sont les poulettes qui bientôt déferlent dans la chambre dans une cascade de boucles blondes. Et Timéa se précipite sur Nono, Mémé. Un peu plus timide cachée dans les jambes de son papa Kiara aussi nous regarde au fond de notre lit. Allez debout, une nouvelle journée commence pourvu que nous ayons le même énergie qu’elles pour en profiter.

...

Alors que Timéa nous explique que son chat est partis faire un petit tour et puis il reviendra, Kiara assise sur les genoux de Mémé mange un yaourt proprement doucement... sous les instructions et les regards de Nono. Ensuite, en Chantant "Mon papa ne veut pas que je danse que je danse..." Timéa fait biquer sa sœur avec les aimants du frigo. Dehors le jour se lève a peine, il est bientôt 7h. Un temps belge. La pluie fine couvre le ciel d’un gris Jaques Brel. Les gouttes de pluie s’accumule dans la gouttière en zinc qui raisonne d’un bruit d’eau métallique familier de mon enfance. C’est un peu pour tout ca que je suis ici, pour que nos filles partage ce qui reste pour moi les bon moments de ma vie, ou jouant avec mes cousins on faisait raisonner la maison de nos cris.

Vers 9h on prend la voiture pour aller au GB (ancien Nopri), Kiara assise dans le caddy Timéa porte un gros bouquet de fleur quelle a trouver a l’entrer. Repas du midi, poulet frittes et mayonnaise (c’est décide je me fout de mon cholestérol je prendrai des pilules en rentrant).

Comme un gosse je file au rayon boules ou je prend un gros paquet de lard rose et blanc et je file un paquet de bonbon cerise dans les mains de Timéa qui a bien voulu pour l’échange déposer ses fleures dans le caddy.

On repasse vite fait déposer les frittes et le poulet chez Grand-Mère et aussitôt nous voila reparti a vélo pour faire la bise a marraine qui nous attend sur la digue.

Kiara assise devant moi, Timéa assise derrière Nono et mémé seule sur son vélo. On pédale dans l’air frais. Arriver a la digue devant les cuistax et les châteaux gonflant Marraine nous accueil tout sourire et bras grands ouverts. Elle profite de que les petites soient attachée dans leur petit siège pour leur faire un grosse bise. Et Laure ( la sœur de Mattias sinon j’aurais dit marraine !) déboule avec ses trois monstre dont je sais que un s’appel Marius mais je ne sais pas lequel et la petite (qui est moins petite) violette.

On cours dans le sable on cherche des coquillages avec sur le dos des petites les coupes vent que mémé nous a fournis.

Mémé elle est déjà repartie préparer le poulet alors quand on rentre avec Nono on a pas longtemps a attendre pour passer a table et s’empiffrer de fritte mayonnaise et de morceau de poulet. Nono a préparé une mayo-sambaloelek et Timéa me trempe une fritte dans la mayo jaune et puis dans la rose et me dit tien un fritte arc-en-ciel, moi j’aime bien les frittes arc-en-ciel !

Ensuite on va se faire une sieste, Kiara et Timéa font la Java dans le lit, j’hausse la voix mais elles sont quand mémé poilante les petites a se grimper dans le lit a sauter dessus et a s’éclater de rire quand l’autre se cogne en faisant boum.

Bref tout le monde fini par faire une sieste de 2h au moins, c’est Mémé qui vient nous sortir de notre coma. Kiara me souris et me tape sur le ventre du plat de la main en chantonnant papa ... papa.. Timéa moins enthousiaste grommelle en se retournant pour finir elle se lève avec mémé et on se prépare pour aller faire du cuistax.

Timéa choisit la petite de voiture de police, Kiara hésite un peu essayant plusieurs modèle pour finir par prendre une petite voiture mauve.

On les pousses sur la digue alors qu’elles mortes de rire tourne le volant et Timéa crie faster faster. Kiara trouve comment ouvrir la porte de sa voiture et il faut garder un œil sur elle car elle saute en marche pour échanger sa voiture avec celle de sa sœur.

30minutes c’est long quand on doit pousser des petits monstres comme ca.

On rejoint marraine et coco au t’zand et on prend un sprite, très vite Timéa demande pour aller jouer dans le sable se qu’elle fait avec Mémé et sa sœur, pendant que moi je discute avec coco et laure.

Nono les rejoint sur la plage avec sa voile de kite sur le dos, il a l’air aussi impatient qu’un gamin voulant montrer son nouveau jouet. Moi j’ai juste un peu peur que ce soit complique avec les petites et donc je suis un peu frileux d’y aller, mais Laure souligne ce que j’avais constater donc je me lance. Je propose a Timéa de voir le kite que nono a dans son sac, la chimie prend Nono ouvre le sac sous les yeux de Timéa impatiente. Il pause le kite dans le sable et explique qu’il faut mettre un peu de sable sur la voile pour ne pas qu’elle s’envole, Timéa relaye l’information a sa sœur qui commence avec sa petite cuillère a glace a pelleter du sable sur la chute de tissu.

Et voila le kite qui vole, tout le monde essaye mémé Marraine. Moi j’arrive a confier Kiara a Nono, et la je m’assie par terre me faisant trainer dans le sable par le voile qui passe de gauche a droite, Kiara debout sur les épaules de nono crie avec lui bravo papa.

Et Timéa est déjà loin de tout ca a jouer au big bad wolf avec marraine.

Le soleil brie depuis midi, le vent est bon, c’est gaie.

On remonte sur nos vélos et on mange des tartines avec grand-mère, pendant qu’on fait la vaisselle Mémé donne le bain et puis on lit l’histoire en image du petit poney qui cherche ses pommes. Dans la chambre du font j’ai fermer les volets pour simuler la nuit. Sans prendre de biberon les petites s’écroulent, je ne tarderai pas a les rejoindre.

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